La newsletter des Inattendus
Didier, Isabelle et Léo sont toujours vaillants, mobilisés et à votre écoute !
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Esprit libre vs Confinement : ça donne quoi ?
Toujours confiné et finalement le temps ne passe pas si lentement que ça pour nos esprits libres qui ont trouvé mille et une façons de s'échapper, de s'amuser, de soutenir et de rire. Voici les quelques perles que nous avons sélectionnées cette semaine rien que pour vous.
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Les guérisons dans le monde, en Europe et en France
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1 200 000
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source : statista (07/05/2020)
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Les résultats de notre getty challenge
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La semaine dernière, nous vous avons proposé de voter pour votre reproduction favorite "Made In Attendu", c'est l'heure de découvrir les résultats !
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46 personnes au total ont participé au challenge :
"Mother and Child" l'emporte haut la main avec pas moins de 21 votes !
"Champagne" suit avec 15 votes
"Bullfight" termine enfin en troisième position avec 10 votes
Et vous, avez-vous relevé le défi ?
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Devenus aujourd’hui des produits de première nécessité, les masques inspirent les artistes du monde entier. À tel point que certains détournent même leur usage pour développer des projets créatifs étonnants, à l’instar de la créatrice islandaise Ýrúrarí Jóhannsdóttir, alias yrurari sur les réseaux sociaux.
Inspirée par la problématique de la distanciation sociale, elle tricote des masques horrifiques qui ne sont, précisons-le, en aucun cas des dispositifs sanitaires. Les créations de Yrurari sont réalisées “pour passer le temps” mais l’idée de départ est intéressante : créer des masques si repoussants que personne ne voudra s’approcher de vous, permettant ainsi de créer la distance et de limiter la propagation du virus.
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Ça vous inspire ? En tout cas nous oui ! Tellement qu'on vous propose un petit challenge pour suivre l'idée de Ýrúrarí : créez votre propre masque original.
Utilisez n'importe quelle matière, n'importe quelle forme, n'importe quelle idée pour tenter de reporter le #maskup challenge !
Envoyez vos participations en répondant à ce mail et notre jury, composé de vos humbles serviteurs, élira la meilleure participation qui remportera une excellente bouteille de Whisky Moon Harbour distillé en Aquitaine !
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Petite histoire de l'attestation
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Halte là ! Où allez-vous ? Acheter des 🥕? Papiers s'il-vous-plaît.
Les attestations de déplacement, ça ne date pas d'hier... Trois siècles avant l'épidémie du coronavirus, les français devaient déjà remplir des attestations de déplacement, en témoigne cette archive de 1720 repérée par un historien :
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Si ce document daté d’il y a 300 ans surprend de par son écho avec notre quotidien de confinés, il est pourtant plutôt commun à l’époque, avance l’historien. “Ces attestations de déplacement sont relativement courantes du XVIe au XVIIIe siècle. Les mobilités sont contraintes, les habitants ne se déplacent pas et ne passent pas les portes des villes comme ils veulent”, poursuit Jérémie Ferrer-Bartomeu. Le "Mal Contagieux" auquel il est fait allusion dans ce document est une épidémie de peste survenue en 1720 à Marseille.
En attendant, on vous propose un autre modèle d'attestation déniché sur internet qui sent bon les années 2000 :
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Les femmes en première ligne
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Valérie* est au bord du « burn-out » parental, mais elle garde le sens de l'humour. « Si ce n'est pas le virus, ce sera Sainte-Anne avant la fin du confinement ! » lâche celle qui a enfin réussi à nous répondre, forcée de coller ses enfants devant un écran. Cette ex-prof de philo, qui a choisi d'être femme au foyer, a pourtant l'habitude d'enchaîner courses, repas, ménage, devoirs, cours de foot, de musique… mais là, elle craque. Quatre enfants, de 5 à 12 ans, enfermés dans un petit appartement parisien, sans balcon ni cour, et un mari, prof d'université, claquemuré dans une pièce toute la journée pour donner des cours en visioconférence, c'est trop.
« Les femmes et les hommes ne vivent pas le même confinement », déclare au Point la secrétaire d'État Marlène Schiappa, s'appuyant sur une étude** qui lui fait craindre « un épuisement silencieux » de nombreuses femmes. Las, la grande révolution que d'aucunes appelaient de leurs vœux au début de cette crise sanitaire ne semble pas se produire. Les inégalités perdurent et la majorité des femmes (58 %) considèrent qu'elles passent plus de temps que leur conjoint à réaliser les tâches ménagères ou à s'occuper des enfants dans cette période critique.
« Il y a une quantité non négligeable d'hommes, de bonne volonté certes, mais qui sont encore en mode exécutant, remarque Aurélia Schneider, psychiatre. Déléguer, c'est mieux que rien ; mais rien ne vaut le partage ! » Dans 63 % des familles, les repas sont principalement préparés par les femmes pendant le confinement, révèle l'étude Harris Interactive. La thérapeute s'est ainsi vue demander à un patient de préparer « les repas de A à Z, deux fois par semaine » pour soulager sa femme, mère au foyer. Elle conseille plus généralement aux femmes de « lâcher prise » et de « demander de l'aide » à leur conjoint et à leurs enfants, et enfin, à chacun de s'accorder de une demi-heure à une heure par jour de temps exclusivement pour soi.
« Réveillons-nous, il faut que cette période serve à quelque chose ! lance la psychiatre qui se veut optimiste. Il y a des hommes qui sont prêts, ils n'ont peut-être pas été encore totalement éduqués, mais la période est faste pour changer les choses : on est dans un moment où l'on est censé pouvoir se parler, si on n'explose pas… »
Source : Le Point
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Vous l'aurez sûrement remarqué, chez Inattendu, nous sommes plutôt bons clients de calembours et autres contrepèteries et ne manquons jamais quand l'occasion se présente d'apporter notre pierre à l'édifice. Nous avons donc particulièrement apprécié la démarche de ce compte instagram qui récolte les enseignes coupables des pires (ou des meilleurs ?) jeux de mots français. Petit tour d'horizon des plus belles pépites :
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Mention spéciale aux salons de coiffure qui n'ont jamais manqué de créativité dans ce domaine et ont toujours su imposer leur caract'hair.
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🧙 Harry Potter & l'école des confinés 🧙♀️
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J.K. Rowling lance le site "Harry Potter at home" pour occuper les enfants pendant le confinement.
S’il y a bien une problématique qui touche tous les parents de jeunes enfants aujourd’hui, c’est bien de savoir comment les occuper pendant toute la durée du confinement. Lectures, jeux de société ou encore activités manuelles, les semaines et les week-ends se ressemblent mais heureusement, des initiatives naissent pour nous offrir un peu de nouveautés.
Et parmi elles, impossible de passer à côté de l’annonce faite par la célèbre romancière J. K. Rowling le 1er avril 2020. Sur Twitter, la maman d’Harry Potter a sobrement annoncé le lancement du site “Harry Potter at home” qui a un objectif clair : occuper les enfants pendant le confinement.
La plateforme est accessible gratuitement et propose des quiz (par exemple pour deviner à quelle maison vous appartenez), des articles, des jeux de mots mêlés ou encore des tutoriels de dessins. Seul bémol pour les Français, le site est pour l’instant en anglais uniquement, mais espérons que d’autres versions arriveront très vite ; précisons qu’il reste tout de même très accessible pour les francophones.
Pour entrer à l'école des sorciers, cliquez sur la baguette magique, wingardium leviosa !
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Vous aurez besoin de :
- 1 poulet de Bresse (pour savoir s'il vient bien de Bresse, demandez à votre boucher)
- 2 petits citrons confits
- 150g d'oignons
- 50g de persil plat
- 1 cuillère à café de cumin
- 1 cuillère à café de paprika
- 1 cuillère à café de gingembre
- 1 cuillère à café de curcuma
- 1 pincée de poivre de Cayenne en poudre
- 1 cuillère à café d'eau de fleur d'oranger
- 1 cuillère à soupe de gros sel
- 1 cuillère à soupe de jus de citron
- 1 petit bouquet de coriandre fraîche
- 20 olives noires
- Sel, poivre du moulin
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Pour les confites
2 tomates
1 cuillère à café de sucre
1 cuillère à soupe d'huile d'olive
1 branche de thym
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Découpez votre poulet en 8 morceaux ou demandez à votre volailler de le faire pour vous. Posez les morceaux sur une assiette que vous filmerez et réserverez au frais.
Pendant ce temps, épluchez les oignons et coupez-les en petits dés.
Lavez, effeuillez et ciselez finement le persil plat.
Préparez les tomates confites. Préchauffez votre four à 160°C. Mondez les tomates et coupez-les en 4. Posez les quartiers sur une plaque à pâtisserie en les saupoudrant de sel et du sucre. Ajoutez l'huile d'olive et le thym. Recouvrez d'une seconde plaque à pâtisserie et enfournez pour 45 minutes.
Dans une grande cocotte, versez un litre d'eau. Ajoutez-y les dés d'oignon, toutes les épices, la fleur d'oranger et le gros sel. Chauffez à feu doux à couvert. Quand l'eau bout, incorporez les pilons, les ailes et les hauts de cuisse. Laissez cuire une vingtaine de minutes à découvert, toujours à feu doux. Ajoutez ensuite les blancs, le persil ciselé, le jus de citron; le bouquet de coriandre lavé et entier. Laissez cuire encore 20 minutes.
Retirez les morceaux de poulet et réservez-les au chaud dans un grand plat à tajine. Remettez la cocotte sur le feu avec les citrons confits coupés en quartiers pour faire réduire le jus de cuisson jusqu'à obtenir un volume de deux verres environ. Rectifiez l'assaisonnement si besoin.
Servez 2 morceaux de poulet par personne en les nappant généreusement de sauce et en parsemant 5 olives noires. Vous pouvez servir ce plat avec de la semoule.
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Le petit plus d'Isabelle : Remplacer le curcuma par du safran
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